Unity-in-diversity projet 2013-2014
22/06/2013 14:16
UNITY-in-DIVERSITY IN NEW YORK
UNIDAD-en-DIVERSIDAD EN NUEVA YORK
NEW YORK, VILLE MONDE
New YORK, CARREFOUR DES CULTURES DU MONDE
Présentation du Projet: UNITY-in-Diversity Incluant le Voyage à New York
UNITY-IN-DIVERSITY
Le projet UNITY-in-DIVERSITY a pour ambition de faire découvrir un grand nombre de cultures présentes en France et ailleurs afin de combattre le renfermement sur sa propre culture et permettre, au contraire, de découvrir différentes pratiques culturelles, religieuses et traditionnelles.
Notre désir est de combattre toutes formes d’ignorance et d’obscurantisme résultant au racisme actuel. Nous souhaitons également mettre en avant des cultures peu présentes en Europe.
1) En Amont : Trois musées de septembre à novembre
A. La PORTE DORÉE : Cité de l’immigration
Comprendre la France d’aujourd’hui en se penchant sur son histoire, c’est la première étape de notre projet avec une visite en début d’année à la Cité de l’immigration. Le guide se charge d’expliquer l’architecture et les fresques du Palais pour faire un bref portrait de la France coloniale puis celui-ci nous amène progressivement vers la collection du musée qui montre les histoires très personnelles des immigrés venant des quatre coins du monde pour travailler en France. Les élèves découvrent ainsi que les immigrés venaient de protectorats et de départements français (anciennes colonies) pour la plupart et qu’ils ont choisi d’immigrer ensuite vers l’hexagone pour des raisons diverses. Le guide montre également les réactions des autochtones à l’arrivée de ces différentes populations. Un travail sur la perception de l’étranger (selon les périodes) par les français sera proposé aux élèves. En complément le documentaire ‘Mémoires d’immigrés’ (Y. Benguigui)sera projeté en début d’année avec un échange avec des séniors de villeneuve ayant vécu cette période.
Les élèves devant les fresques écoutant l'histoire coloniale de la France 5.11.2013
B. Le MUSÉE DE L’ARMÉE, les INVALIDES
La France et la Grande Bretagne recrutent plus d’un million d’hommes dans leurs colonies pour affronter l’Allemagne. Il est important pour nos élèves de réaliser l’apport des tirailleurs sénégalais ou autres soldats venus d’Afrique noir, du Maghreb ou d’Indochine pour montrer la contribution de ces hommes à la victoire des alliés. Cette visite redonne du sens également à la présence aujourd’hui des descendants de ces combattants venus des colonies françaises.
C. Le QUAI BRANLY
Ce musée des arts et civilisations d'Afrique, d'Asie, d'Océanie et des Amériques (civilisations non occidentales) permet aux élèves de se confronter à d’autres œuvres artistiques et de tenter d’en découvrir le sens. Le guide se charge ensuite de compléter ou de rectifier des idées reçues sur des civilisations peu connues du grand public. Cette visite sera à mettre directement avec l’atelier de danses hispaniques. En effet les danses hispaniques folkloriques sont directement influencées par les cultures des peuples premiers d’Amérique du sud. À travers cette visite, les élèves vont donc approfondir leur connaissance des peuples originaires et compléter ce qu’ils auront appréhendé lors de l’atelier danse.
2) Toute l’année :
Deux ateliers, gospel et danses hispaniques
A. Gospel
Pour la deuxième année consécutive les élèves découvriront un répertoire varié de chants gospel avec deux intervenants américains qui ne manqueront pas comme cette année de raconter quelques anecdotes sur l’histoire des Afro-Américains. Les élèves réfléchissent à ces chants qui ont apporté un apaisement aux esclaves mais qui ont servi également de prétexte pour indiquer aux esclaves les chemins à prendre pour rejoindre les Etats où l’esclavage avait été aboli (underground railroad). Le conseil général financera ainsi 30 heures d’ateliers et les élèves donneront deux spectacles dans l’année (théâtre de la ville et portes ouvertes)
B.L’atelier Danses hispaniques
Il sera important pour l’artiste intervenante, d’origine équatorienne, d’aller à l'encontre des idées habituelles sur la culture latino-américaine en montrant une perspective différente de ce continent. L’atelier portera ainsi, dans un premier temps, sur des danses folkloriques méconnues en France telles que la “chacarera” ou “l’albazo”. Les élèves pourront d’ailleurs rencontrer d’autres collégiens (pour certains d’origine latino-américaine et parlant espagnol, l’occasion d’un échange culturel et linguistique) qui pratiquent régulièrement ces danses. Les élèves s’initieront ensuite à la salsa. Un apprentissage qui entrera dans la dynamique du voyage à New York (lieu où la salsa a pris son essor dans les années 60-70). Tout cela permettrait donc de développer diverses compétences du socle à travers 30 heures d’enseignement financées par le conseil général:
- la maîtrise d’une langue étrangère : L’atelier sera dispensé par Valentina Molina en espagnol (locutrice native)
- La culture humaniste : Sensibilisation à des civilisations parfois méconnues (danses folkloriques prenant leurs racines dans les cultures des peuples premiers d’Amérique).
- L’autonomie : L’élève exploite ses facultés intellectuelles et physiques tout en développant confiance en soi, expression corporelle et rigueur à travers la danse.
En complément : Cours de Hip HOP et du Monde avec le chorégraphe Stéphane Bellemare le samedi après-midi (prise en charge en partie par une subvention de la mairie et de l’association AA92)
C. Correspondance avec des élèves d’origines très diverses (à préciser ultérieurement)
Nous attendons une confirmation de correspondance avec une école de New York mais les élèves pourront échanger avec des élèves américains durant cette année sur des thèmes variés : leurs fêtes traditionnelles, nationales, leurs cultures, coutumes et traditions. Les élèves pourront inviter leurs correspondants à suivre leurs actions sur le site du projet : unity-in-diversity.webnode.fr et sur leur blog ou ils posteront des vidéos de leurs cours de gospel et de danses. Les élèves échangeront en espagnol et en anglais. Enfin une rencontre sera organisée lors de notre séjour à New York et nos élèves pourront mettre en avant leurs talents artistiques que ce soit dans le domaine du chant afro américain et/ou de la danse hispanique.
D. Concours MIX’ART
« MIX’ART à l’école » a en premier lieu vocation à donner aux élèves et à leurs professeurs un moyen original d’aborder les questions d’égalité des chances et d’ouverture aux autres au travers des arts urbains et de la bande dessinée. « MIX’ART à l’école » offre aussi aux jeunes une tribune d’expression pour s’engager sur le chemin de la diversité culturelle.
L’association Ariana, organisatrice de l’opération « MIX’ART à l’école » en faveur de la promotion de la diversité culturelle, propose aux classes des collèges (quatrième, troisième) de travailler, par le biais de la bande dessinée et du graff, autour des thématiques suivantes : le pluralisme culturel ; la tolérance ; la diversité artistique ; l’égalité des chances ; l’ouverture aux autres ; la lutte contre les discriminations ; le refus des discriminations liées au handicap ; la lutte contre l’exclusion ; la lutte contre la violence à l’école ; la cohésion sociale ; le dialogue interculturel.
3. le voyage : La Diversité culturelle aux Etats-Unis
Une semaine en avril ou mai. 30 élèves, 3 accompagnateurs.
Les élèves visitent la Cité de l’immigration à Paris et le Quai Branly pour comprendre l’histoire de l’immigration mais aussi pour montrer la contribution de ces immigrés à leur pays d’accueil ou l’apport d’anciennes colonies.
Les Etats-Unis représentent encore une terre d’opportunités qui a accueilli d’innombrables groupes ethniques qui ont tous contribué à la richesse et à la diversité de la culture américaine.
NEW YORK c'est le mélange permanent des différentes cultures. La quintessence de l'Amérique c'est New York qui offre un brassage empruntant à différentes influences, pour créer de nouvelles forces. NY c'est l'expansion perpétuelle du métissage, un incessant processus d'immigration et de transplantation à l'oeuvre depuis plus de 300 ans..
En proposant ce voyage aux élèves de Villeneuve la Garenne nous espérons faire réfléchir les élèves sur la notion de liberté et de diversité. Les élèves ne doivent pas tenir ces valeurs pour acquises et doivent être conscients des luttes historiques qui ont permis aux américains d’origines diverses d’obtenir les droits universels mentionnés dans la constitution des Etats Unis.
Visite 1 : Ellis Island et la statue de la liberté : Vivre l’histoire américaine
Découvrir les différents vagues d’immigrations et les raisons pour lesquels ces populations quittèrent tout pour une terre inconnue. Comparer ce musée de l’immigration avec celui de la Cité de la Porte dorée. (Visite prévue en octobre)
Le Metropolitan Museum et ses galeries (après-midi) :Arts of Africa, Oceania, and the Americas
Visite 2 : Chinatown, Little Italy, Brooklyn, Bronx …
Comme en avril 2013 (le Londres multiculturel), les élèves pourront découvrir la richesse des cultures présentes dans une même ville en découvrant des populations qui se côtoient et qui partagent le meilleur de leurs cultures avec leurs voisins.
Visite 3: Spanish Harlem and Hispanic Heritage – Herencia hispánica en Nueva York: Este de Harlem « El Barrio »
En l’espace de quelques décennies les Etats-Unis sont devenus le cinquième pays hispanophone au monde après le Mexique, la Colombie, l’Espagne et l’Argentine.
L’espagnol est actuellement la deuxième langue la plus parlée aux Etats-Unis et la ville de New York ne fait pas exception à la règle. L’écriteau “Se habla español “ (“On parle espagnol”) est légion et les chiffres parlent d’eux même: un quart de la population de la ville-monde est d’origine hispanique.
À travers ce voyage, nous souhaitons donc que les élèves comprennent l’importance de parler plusieurs langues étrangères. L’espagnol est d’ailleurs devenu un atout majeur sur le marché de l’emploi mondial et ce notamment aux Etats-Unis.
D’un point de vue culturel et didactique, la connaissance de New York permettra aux élèves de mettre en perspective les problématiques liées aux interactions entre deux Amériques : l’hispanophone et l’anglophone. Nous travaillerons en cours sur l’interdépendance qui en résulte : échanges, histoire commune, colonisation, guerre hispano-américaine, luttes pour l’indépendance, luttes contre les discriminations. Ils étudieront, par exemple, l’immigration mexicaine et le parcours des « los chicanos » en cours d’espagnol et réfléchiront à l’immigration portoricaine et cubaine après avoir vu West Side Story en cours d’anglais.
L’on évoquera également les personnalités d’origine hispanique qui sont aujourd’hui influentes aux Etats-Unis comme par exemple Sonia Sotomayor, juge à rejoint la Cour suprême.New York est par ailleurs, LA ville qui a vu « exploser » la « salsa » dans les années 60-70. Voilà pourquoi cette danse sera étudiée tout au long de l’année au collège lors d’un atelier d’une heure hebdomadaire. La « salsa » est née d’une fusion musicale alliant rythmes afro-cubains et cuivres venant du jazz. Elle demeure, aujourd’hui comme hier, un témoignage très fort de l’apport des immigrés latino-américains aux Etats-Unis et de la fusion artistique des cultures africaine, américaine et européennes.
Voici le programme envisagé :
Matin:
Visite en espagnol du quartier « El Barrio », à l’Est d’Harlem avec un habitant natif du secteur. Découverte des fresques murales rappelant le muralisme mexicain, des églises catholiques entourées d’églises russes orthodoxes, des rues ayant inspirées l’un des plus célèbres poètes espagnols, Federico García Lorca ou encore du « primary business hub of spanish harlem » où l’on pourra déguster de délicieux « tamales » au coin de la 116 street.
Après –midi :
- Visite de « el Museo » Musée aux consacré cultures latines, caribéennes et latino américaines. L’on peut y découvrir des œuvres artistiques d’une rare diversité allant des artefacts précolombiens des indiens Taínos aux photographies d’artistes contemporains.
Suite à la visite, les élèves seront invités à participer à un atelier créatif où ils pourront peindre, dessiner, écrire ou encore réaliser un collage selon ce que leur auront inspiré les échanges avec le guide au cours de la visite. https://www.elmuseo.org/en/event/group-visits
- Visite du « The Raíces Latin Music Museum »
Musée dédié à la culture musical latino-américaine. Le musée attache une importance toute particulière à préserver les trésors de la musique afro-caribéenne qui est à l’origine de la salsa (danse qui prit son essor à New York dans les années 60-70). Cette visite fera suite à l’atelier danses hispaniques suivi par les élèves au cours de l’année. https://raicesmuseum.org/ Contact: Ramón Rodriguez, Executive Director (212) 427-2244, East 104th Street, NYC, 10029 (entrée gratuite)
Soirée: Dîner à la célèbre « Fonda Boricua » pour ces fameux plats portoricains à déguster sur fond de bachata et si possible voir West side story en comédie musical à Brodway et/ ou spectacle de salsa à prévoir une soirée de la semaine.
Visite 4 : Jackson Heights “la pequeña colombia”, Washington Heights, Quisqueya et festivals
Matin : Visite du quartier de Jackson Heights (avenue Roosevelt) que l’on appelle également « la petite Colombie » dans le Queens. Quartier très multiculturel accueillant, comme son nom l’indique, de nombreux colombiens et plus récemment des hispaniques d’origine mexicaine. Il y a aussi une grande communauté chinoise et indienne. Retour sur les traces de l’héroïne du film, María, llena eres de Gracia, étudié en classe et mise en perspective entre fiction et réalité. Visite du quartier dominicain de Washington Heights tout proche.
Après-Midi :
- Rencontre avec les élèves de l’école « Artes Peruanas Pachamama ».
Cette école propose aux jeunes du quartier de participer à un programme artistique gratuit après les cours. Etabli dans l’école public 212 de Jackson Heights, Queens; Pachamama offre à tous les enfants l’opportunité d’explorer les arts et la culture péruvienne. Partage autour des danses folkloriques latino-américaines entre les élèves du collège Manet ayant suivi l’atelier danses hispaniques et les élèves de l’école Pachamama. https://www.ctmd.org/pachamama/indexppa-s.htm
Enfin, selon les dates du voyage nous pourrons assister à un défilé ou un festival :
- Fin mars, festival du film colombien à New-York.
- Festival et défilé du 5 mai organisé par la communauté mexicaine. (Commémore la victoire de l’armée mexicaine sur les troupes françaises lors de la Bataille de Puebla en 1862)
- Festival et défilé de la communauté équatorienne, célébrant l’indépendance du pays mi-mai (fête de l’indépendance du 24 mai)
- 17 mai 2014 « Unity Through Dance! The New York Annual Dance Parade & Festival ». L’unité à travers la danse! Défilé de danse annuel de New York faisant la part belle aux cultures latino-américaines et aux danses folkloriques du sud du continent.
Visite 5 : Harlem et la culture afro américaine
Pour la deuxième année consécutive le conseil général par le biais du projet Siel offre l’opportunité aux élèves de découvrir le gospel grâce à l’intervention de deux chanteurs originaires des Etats Unis.
Dans un premier temps les artistes enseigneront le gospel et son rôle dans les combats menés par les afro-américains.
En avril l2013, les élèves se sont rendus au musée de l’esclavage à Liverpool pour mieux comprendre l’esclavage et la ségrégation aux Etats-Unis.
Nos intervenants gospel Timothy et Brian se proposent de se rendre disponible pour nous faire découvrir New York qu’ils connaissent bien si leur emploi du temps le permet. Voici le programme envisagé :
Matinée :
Situé au 52 West 116th Street, le Malcolm Shabazz Market est le plus grand marché Africain de la ville. Toutes sortes de tissus et d’objets d’art Africain y sont vendus.
Après midi :
Pour avoir un petit aperçu de Harlem, rien de tel que de descendre à la station 125th Street (Trains A, B, C et D) et de longer la rue jusqu’à l’Apollo Theatre, légendaire salle de music hall qui a vu jouer les plus grand noms de la musique noire américaine.
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Situé comme l’Apollo Theatre sur la 125ème rue, ce club fut ouvert en 1978 dans l’optique de faire revivre la légendaire salle des années 30 où se sont produits, entre autres, Duke Ellington, Louis Armstrong et Ella Fitzgerald.
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Reprenant un concept similaire à Big Apple Greeters, Harlem Heritage propose des visites du quartier avec un « born & raised », c’est à dire un habitant né dans le quartier et qui le connait comme sa poche. Une visite sur l’origine du Hip Hop est également possible ‘From blues to Hip hop’.
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Visiter le musée du Jazz
Fans de Jazz ou simples curieux ne seront pas déçus avec ce musée qui n’est rien d’autre qu’une grande pièce remplie de disques, photos et de magazines. Tout l’attrait du musée réside dans ses guides bénévoles qui vous raconteront avec passion l’histoire du Jazz de Harlem.
Le musée se trouve au 104 East 126th Street. Plus d’infos sur : https://www.jazzmuseuminharlem.org.
- Manger chez Sylvia’s
Depuis presque 50 ans, Sylvia’s est une institution à Harlem. On y sert de la soul food, la cuisine Afro-Américaine traditionnelle à un prix abordable dans un cadre plutôt sympa. Parmi les clients célèbres, citons Bill Clinton, Jesse Jackson ou Nelson Mandela. Le restaurant est situé au 328 Malcolm X Blvd.
-Assister à une messe gospel
Harlem est l’un des quartiers de Manhattan ou l’on trouve le plus d’églises où, tradition oblige, le Gospel est à l’honneur. Parmi les nombreux lieux de culte du quartier, la plus connue et la plus prisée des touristes est l’Abyssian Baptist Church, située au 132 Odell Clark Place. La First Corinthian Baptist Church (1912 Adam Clayton Powell Jr. Blvd) et la Elmendorf Reformed Church (171 East121 Street) sont également réputés pour leurs chorales.
PROJET DIVERSITE ET LIEN avec les Programmes - année 2013-2014
ACTIVITES |
Objectif pédagogique |
Interdisciplinarité |
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-travail sur les causes, conséquences |
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(financé par le Conseil Général Siel )
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interactions entre deux Amériques : l’hispanophone et l’anglophone.(Ex : coexistence des deux langues dans plusieurs villes américaines, phénomène du spanglish)
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LE BUDGET 2014
Nous espérons obtenir le soutien des fondations qui ont soutenu le projet en 2009-2010 .Nous partons sur un mode de logement en auberge de jeunesse
Recettes |
Dépenses |
FSE : 6000 euros(reliquats divers) Concert élèves: 1500Lionsclub:1500Commerçants / dons : 5000 euros
TOTAL :31914 euros |
Visites payantes :
TOTAL : 31914 |
NOUS CONTACTER :
Mme Faïza TAZI, professeur d’anglais du collège Edouard Manet
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Tél. (France) professionnel : 01 47 94 53 84 / fax : 01 40 85 42 57
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Courriel mrstazif@gmail.com
Mme Mélanie SALIGNON, professeur d’espagnol du collège Edouard Manet
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Tél. (France) professionnel : 01 47 94 53 84 / fax : 01 40 85 42 57
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Courriel melanie.salignon@hotmail.fr
Pour suivre le projet et connaître les actions faites précédemment :
unity-in-diversity.webnode.fr